jeudi 24 mai 2012

Une triste Réalité


Au risque de paraître lourd aux yeux de certain(e)s, je publie ici un extrait d'un article sur lequel je suis tombé par hasard et qui dans une grande majorité retranscrit très bien le fond de ma pensée.
Je précise de suite que je dénigre en rien ce fétish et cette pratique qu'est la domination financière, que je pratique depuis la fin des années 90 (hé oui, cela ne me rajeunit pas) et que je ne serais m'en passer, mais je déplore la façon dont cette pratique est utilisée et l'image qui en ressort par une grande majorité de personnes aujourd'hui.
Un petit message plein de vérités, extrait du blog de Déesse Anaïs :


"Facebook est un réseau social sombrant de plus en plus dans le ridicule le plus sordide. D’ailleurs, en cette rentrée, j’y ai remarqué le retour de nombreuses béotiennes attardées qui se prennent pour des Moneydom. Elles sont très faciles à repérer, leurs pages ressemblent à une vitrine Amazon et Sephora. Pourvu que Jennyfer s’...y mettent aussi ! Non c'est vrai, quoi, elle est carrément trop classe la nouvelle collection de jeans slim délavés à double boutonnage !!!... Allez, les blaireaux, envoyez vos chèques cadeaux pour combler vos princesses (qui sont, pour la plupart du temps, laides comme des poux ! Du moins, pour celles qui osent sans honte diffuser leurs clichés). Ne vous y trompez pas, messieurs les soumis, ceci n’est absolument pas du moneyslavering, c’est seulement de la misérable, pathétique et consternante médiocrité vénale. Comme le souligne la chanson "J’accuse" de Damien Saez, ces ridicules bécasses ont une Carte Bleue dans la chatte… et aucuns neurones. Parce qu’en plus, elles passent leur journée à râler, ces pétasses, en maugréant que "ces sales soumis de merde" (bonjour le respect !) ne sont que des fantasmeurs de bas étage. Elles sont trop déçues, quoi !! Ben voyons, comme si elles s’imaginaient trouver 15 bouffons décérébrés par jour pour les rémunérer comme des putes tout en étant persuadées d’atteindre les hautes sphères du capitalisme outrancier pouvant les mettre considérablement en valeur aux yeux de notre société ultralibérale… Comme si l’on devenait une Dominante respectée (ou même ne serait-ce "quelqu’un") en amassant de la thune pour "vivre" en mode Sephora, Amazon, Jennyfer et Carrefour. Bonjour les valeurs humaines !... Putain, mais regardez-vous dans une glace, tas de viande avariée, vous n’êtes que lamentables et puantes !.. Allez, vive Facebook !"